Professeur·e·s invité·e·s

Arthur Silve

Atelier

Arthur Silve est professeur agrégé d’économie à l’Université Laval, où il enseigne le raisonnement stratégique, l’économie politique, et l’économie internationale. Ses travaux s’inscrivent à l’intersection de l’économie et de la science politique, et il s’intéresse plus particulièrement à toutes les questions liées au développement.

Laurie Durel

Atelier

Laurie Durel est candidate au doctorat à l’École supérieure d’études internationales de l’Université Laval sous la supervision des professeurs Richard Ouellet (droit) et Jean- Frédéric Morin (science politique). Ses recherches portent sur le lien entre le commerce international et l’environnement, particulièrement concernant l’interaction entre les règles de l’Organisation mondiale du commerce et les mesures d’ajustements fiscaux à la frontière pour le carbone. Laurie est auxiliaire de recherche à la Chaire de recherche du Canada en économie politique internationale et boursière doctorale du CRSH (Bourse J.A. Bombardier). Avant de débuter son doctorat, elle a occupé plusieurs fonctions au sein de l’administration publique québécoise.

Sarah Lajeunesse

Parcours: Méthodes mixtes

Sarah est étudiante au doctorat à l’École supérieure d’études internationales et se spécialise dans les domaines de la sécurité internationales et des droits humains. Originaire de Montréal, elle gravite depuis plusieurs années dans l’interdisciplinarité. Elle détient notamment un baccalauréat en communication, politique et société et une maîtrise en science politique – politique internationale et droit international de l’UQAM. Elle a aussi complété un certificat en droit, ainsi qu’un MBA spécialisé en gestion stratégique de projets à l’Université Laval. Durant son parcours académique et professionnel, elle a mené différents projets de recherche notamment au Burkina Faso et à l’ONUGenève, et a dirigé une équipe de chercheurs dans une ONG locale de protection des droits LGBTQIA+ à Mumbai, en Inde.

Charles Tessier

Atelier

Charles est directeur chez TACT, la plus grande agence de relation publique à propriété 100% québécoise, où il dirige l’équipe de recherche et d’analyse. Avec son équipe, il a mené de nombreux projets de recherche pour une variété de clients provenant de divers secteurs d’activité. Il détient un baccalauréat et une maîtrise en Études politiques appliquées de l’Université de Sherbrooke, ainsi qu’un doctorat en science politique de l’Université Laval. Au cours de son passage dans le milieu académique, ses intérêts de recherche portaient principalement sur les comportements électoraux, la psychologie politique, la politique canadienne et québécoise ainsi que la méthodologie quantitative.

 

 

 

Adrien Cloutier

Atelier

 

 

 

Yannick Dufresne

Atelier

Yannick Dufresne est titulaire de la Chaire de leadership en enseignement des sciences sociales numériques et professeur agrégé au Département de science politique de l’Université Laval. Ses travaux portent principalement sur les processus démocratiques et les stratégies politiques à l’ère des données à grande échelle (Big Data). Ses intérêts de recherche sont la communication politique, le comportement électoral, la méthodologie, l’opinion publique et la politique québécoise et canadienne.

William Arbour

Parcours: Causalité

William Arbour est professeur adjoint au département d’économie de l’Université de Montréal. Son programme de recherche actuel se concentre sur les moyens d’encourager la réinsertion sociale des détenus par le biais, par exemple, de programmes de réadaptation et de transition supervisée. De manière plus générale, il s’intéresse à l’économie de la criminalité et de l’éducation, ainsi qu’à l’économie du travail.

Invité.es de l'édition précédente :

Johanna Masse

Johanna Masse est chercheure postdoctorale à la School of Politics and International Relations, University College Dublin. Précédemment, elle était chercheure postdoctorale au Centre for International and Defence Policy (CIDP) à l’Université Queen, à Kingston en Ontario. Ses intérêts de recherche portent sur le genre et les conflits. Elle poursuit actuellement un projet de recherche sur les représentations genrées et les femmes militaires dans les unités de combat de l’armée canadienne. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle travaillait sur l’engagement féminin en période de conflits armés, ce qui l’a conduite à faire des terrains d’enquête en Irlande du Nord et en Palestine. Interprétativiste, Johanna s’intéresse particulièrement aux histoires de vie, à travers la technique des entretiens semi-dirigés, ainsi qu’aux considérations éthiques liées à la recherche qualitative et notamment la recherche de terrain. 

Christine Gibb

Christine Gibb est professeure adjointe à l’École de développement international et mondialisation à l’Université d’Ottawa, où elle enseigne la migration, l’aide humanitaire, les catastrophes et les méthodes de recherche. Ses recherches portent sur les migrations environnementales, les catastrophes, la géographie féministe, les méthodes qualitatives, la recherche accompagnée, et les femmes dans le monde universitaire. Elle a aussi travaillé en tant que consultante sur des questions d’environnement et de développement.

Simon Coulombe

Simon Coulombe est professeur agrégé au Département des relations industrielles de l’Université Laval. Formé en psychologie communautaire (doctorat de l’UQAM obtenu en 2016), il mène des recherches sur la promotion du bien-être positif et le rétablissement en santé mentale chez des travailleur.se.s de divers groupes marginalisés, incluant les personnes vivant avec des difficultés de santé mentale et celles en situation de précarité d’emploi. Ses travaux se situent à l’intersection entre les relations industrielles et plusieurs champs de la psychologie (communautaire, positive, environnementale et organisationnelle). Il possède aussi une expertise particulière sur les effets de l’aménagement physique des milieux de vie (travail, maison, quartier) sur la santé. Avant de joindre l’Université Laval, il a été professeur adjoint en psychologie à Wilfrid Laurier University, où il a entre autres contribué à des recherches sur le bien-être et l’inclusion des personnes LGBTQ+. Enfin, il mène actuellement des recherches appliquées en partenariat avec l’organisme Relief dans le but d’évaluer l’implantation et les effets de groupes de soutien à l’autogestion offerts en ligne pour les personnes vivant avec la dépression, l’anxiété ou le trouble bipolaire. Dans ses travaux, il utilise une diversité de méthodes statistiques avancées (par ex., modèles d’équations structurelles, analyses de profils latents, analyses factorielles, modèles multi-niveaux).

Emmanuelle Raynard

Diplômée de l’Université de Montréal en Sciences de l’information (M.S.I.) en 2016, Emmanuelle Raynard occupe la même année le poste de bibliothécaire-conseil en sciences de la santé à la Bibliothèque de l’Université Laval. S’intéressant aux synthèses de la connaissance, elle participe à plusieurs revues systématiques en médecine. Elle obtient le poste de bibliothécaire spécialisée en synthèses de la connaissance en 2018 et en profitera pour corédiger l’offre de service officielle de la Bibliothèque. Elle est également co-auteur de plusieurs revues systématiques, études de la portée et revues réalistes dans des domaines variés comme la médecine et l’éducation.

Aurélien Nicosia 

Après avoir obtenu des diplômes de 1er et 2e cycles en mathématiques, Aurélien est venu s’installer au Québec pour étudier au doctorat en statistique à l’Université Laval. Durant ce temps, il a été consultant junior au Service de Consultation Statistique (SCS) et a enseigné des cours en probabilité et statistiques. Depuis son départ de l’université, il a occupé différents postes de gestion en sciences des données dans le monde pharmaceutique ou encore des assurances, tout en continuant d’enseigner à titre de chargé de cours et de s’intéresser au développement et à l’innovation pédagogiques. Aurélien est passionné par la visualisation de données, le développement d’interface et rendre l’intelligence artificielle disponible pour tous. Très récemment, Aurélien retourne vers sa première passion, l’enseignement, en tant que chargé d’enseignement au département de mathématiques et de statistique de l’Université Laval.

Vincent Arel-Bundock

Vincent Arel-Bundock est politologue à l’Université de Montréal, où il enseigne l’économie politique et les méthodes de recherche. Ses travaux portent sur les politiques de taxation internationale et l’investissement direct à l’étranger. Il a aussi publié sur le vote économique, la politique monétaire, l’aide internationale, et les méthodes de recherche quantitatives. Ses recherches ont été publiées dans plusieurs revues scientifiques telles que International Organization, the Journal of Politics, the British Journal of Political Science, International Studies Quarterly et Political Analysis.

Anne Sophie Charest

Anne-Sophie Charest est professeure agrégée en statistique au Département de mathématiques et de statistique de l’Université Laval. Elle a complété une maitrise (2008) et un doctorat (2012) en statistique à l’université Carnegie Mellon, à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Ses projets de recherche portent principalement sur la protection de la confidentialité pour des données statistiques et touchent les méthodes de protection de données, les mesures de risque de divulgation, et les méthodes d’inférence sur des données perturbées. Elle travaille en particulier sur la création de jeux de données synthétiques, et l’application du critère de la confidentialité différentielle. Elle s’intéresse aussi plus généralement à l’utilisation de la statistique, de la science des données et de l’apprentissage automatique dans d’autres domaines de recherche, notamment par le biais de collaborations avec des chercheurs membres du Centre de Recherche en Données Massives de l’Université Laval auquel est appartient. Elle est aussi membre de l’Institut intelligence et données (IID) de l’Université Laval et du Laboratoire de statistique du Centre de recherches mathématiques (CRM), en plus d’être directrice des programmes de premier cycle en statistique.

Benoît Rihoux

Benoît Rihoux est Professeur ordinaire de science politique à l’UCLouvain (Belgique), où il dirige le Centre de science politique et de politique comparée (CESPOL). Ses recherches portent entre autres sur les partis politiques, la relation citoyens-politique, les mouvements sociaux, le genre et la politique, le changement organisationnel et l’éthique professionnelle. Il contribue au développement et à la dissémination de la méthode QCA (Qualitative Comparative Analysis) et autres méthodes “comparatives configurationnelles” (Configurational Comparative Methods) au sujet desquelles il coordonne le réseau international COMPASSS (www.compasss.org ). Ses travaux portent aussi sur les designs de méthodes “mixtes” ou “multiméthodes” et sur les designs de recherche comparatifs, en particuliers de type “N intermédiaire” (analyse de cas multiples).

Alexandre Pelletier 

Alexandre Pelletier est professeur adjoint au Département de science politique de l’Université Laval. Titulaire d’un doctorat en science politique de l’Université de Toronto, ses travaux portent sur les guerres civiles, les processus de paix et les conflits ethno-religieux en Asie du Sud-Est (Indonésie et Myanmar), où il cumule près de deux ans de recherche terrain. Il travaille présentement sur un livre sur la mobilisation islamiste en Indonésie et collabore également à un nouveau projet sur les transitions guerre-paix en Asie du Sud-Est. Il est co-auteur de Winning by Process: The State and Neutralization of Ethnic Minorities in Myanmar (Cornell University Press, 2022) (avec Jacques Bertrand et Ardeth Maung Thawnghmung). Ses recherches sur l’Indonésie et le Myanmar ont été publiées dans diverses revues, telles que Comparative Politics, Asian Policy & PoliticsAsian SecurityNationalism & Ethnic PoliticsSouth East Asia Research et Development & Change.

Mathieu Turgeon

Mathieu Turgeon est professeur agrégé au département de science politique de la University of Western Ontario. Ses recherches portent sur le comportement politique avec un intérêt particulier pour la psychologie politique et la recherche expérimentale.

Johanna Masse

Johanna Masse est chercheure postdoctorale au Centre for International and Defence Policy (CIDP) à l’Université Queen, à Kingston en Ontario. Ses intérêts de recherche portent sur le genre et les conflits. Elle poursuit actuellement un projet de recherche sur les représentations genrées et les femmes militaires dans les unités de combat de l’armée canadienne. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle travaillait sur l’engagement féminin en période de conflits armés, ce qui l’a conduite à faire des terrains d’enquête en Irlande du Nord et en Palestine. Interprétativiste, Johanna s’intéresse particulièrement aux histoires de vie, à travers la technique des entretiens semi-dirigés, ainsi qu’aux considérations éthiques liées à la recherche qualitative et notamment la recherche de terrain.

Evelyne Brie

Evelyne Brie est doctorante en politique comparée à l’Université de Pennsylvanie. Ses intérêts de recherche incluent l’opinion publique, le comportement électoral et les méthodes statistiques. Sa thèse étudie le rôle joué par l’identité régionale dans l’explication des clivages politiques en Allemagne. Elle travaille actuellement en tant que chercheure en données ouvertes au City Lab Berlin et en tant qu’associé de recherche à la Chaire de recherche du Canada en études québécoises et canadiennes (CREQC). Elle a auparavant occupé des postes à la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires, le Centre d’étude des politiques publiques, l’Ambassade du Canada à Berlin et le gouvernement provincial du Québec.

Michael Lewis-Beck

Michael S. Lewis-Beck est professeur émérite de science politique F. Wendell Miller à l’Université de l’Iowa. Ses intérêts de recherche sont les élections comparatives, les prévisions électorales, l’économie politique et la méthodologie quantitative. Le professeur Lewis-Beck est l’auteur ou le co-auteur de plus de 280 articles et livres, dont Economics and ElectionsThe American Voter RevisitedFrench Presidential ElectionsForecasting ElectionsThe Austrian Voter et Applied Regression. Il a été rédacteur en chef de l’American Journal of Political Science et de la série Sage QASS en méthodes quantitatives. Il est actuellement rédacteur en chef adjoint de l’International Journal of Forecasting et de French Politics. Au printemps 2012, il a occupé le poste de professeur universitaire Paul Lazersfeld à l’Université de Vienne. À l’automne 2012, il était professeur invité au Centre pour la citoyenneté et la démocratie à l’Université de Louvain (KU Leuven) en Belgique. Au printemps 2013, le professeur Lewis-Beck était chercheur invité au Centennial Center de l’American Political Science Association à Washington, D.C. À l’automne 2014, il était professeur invité à l’Université LUISS de Rome.

Christine Vézina

Christine Vézina est professeure agrégée à la Faculté de droit de l’Université Laval. Elle travaille sur les injustices socio-économiques et de santé. Elle mobilise les théories socio-juridiques et la méthodologie empirique pour développer des recherches qui visent à saisir le droit en action, tel qu’il est ou non mobilisé par les acteurs sociaux. Ses questionnements épistémologiques l’amènent à poursuivre des réflexions sur l’engagement de la chercheure et la recherche participative, qu’elle intègre aussi dans ses enseignements.  Elle développe en effet diverses formules de pédagogie clinique où elle créé des collaborations entre les organismes communautaires et les étudiants, ce qui leur permet de développer une perspective critique à l’égard du droit et de ses effets sur les personnes en situation de vulnérabilité, telles les personnes utilisatrices de drogue injectable, les travailleuses du sexe, les personnes en situation de pauvreté, les itinérants, les personnes vivant avec un handicap, les minorités raciales et les personnes issues des communautés autochtones.

Maryline Vivion

Maryline Vivion est professeure associée au département de médecine sociale et préventive de l’Université Laval et conseillère scientifique spécialisée à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Ses projets de recherche portent sur les pratiques informationnelles des personnes en situation de vulnérabilité et les liens entre la surabondance d’information, la désinformation et les comportements de santé. Elle enseigne les méthodes qualitatives aux étudiants inscrits à la maîtrise en santé publique de l’université Laval.

Benoît Béchard

Benoît Béchard complète un doctorat en psychologie (PhD, recherche – profil Politique et Cognition) à l’Université Laval. Ses travaux s’intéressent à l’impact de l’intuition (heuristiques de jugement et biais cognitifs) dans la prise de décision dynamique issue d’environnements complexes, notamment dans le domaine politique. Benoît a complété un baccalauréat en science politique et gouvernement (2008-2011), une mineure en économique (2012-2014) et est titulaire d’une maîtrise en affaires publiques (2014-2016) de l’Université Laval. Intégré à la collection officielle de la Bibliothèque de l’Assemblée nationale du Québec, son mémoire de maîtrise s’intéressait à la transmission stratégique de l’information opérant entre les cabinets ministériels et la haute fonction publique québécoise. Il a récemment complété un stage doctoral financé au Judgment and Decision-Making (JDM) Lab du Department of neuroscience, psychology and behavior de l’University of Leicester (2019-2020) au Royaume-Uni, et ce, afin de parfaire ses connaissances en théorie de la décision et jeux expérimentaux. Ses travaux de recherches sont subventionnés par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) et le Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC). Il est récipiendaire de nombreux prix et distinctions, notamment la Bourse d’excellence au doctorat du Fonds facultaire d’enseignement et de recherche de la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, et la Bourse doctorale de leadership et développement durable de la Fondation J.A. DeSève, venant souligner son leadership social et humanitaire. Benoît dispose d’une connaissance approfondie de la politique et des affaires publiques, cumulant plus de 15 ans de pratique dans le domaine, et ayant été tour à tour conseiller en cabinet ministériel, directeur de campagne électorale et candidat politique aux élections générales québécoises.

Benjamin Guinaudeau

Benjamin Guinaudeau est doctorant en sciences politiques à l’Université de Konstanz (Allemagne). Sa recherche mêle méthodologie politique (apprentissage automatique, analyse quantitative textuelle), les études parlementaires et le comportement politique en ligne. Pour sa thèse, Benjamin développe de nouveaux outils afin de mesurer la position idéologique d’acteurs politiques et enquête sur les stratégies des leaders parlementaires face aux députés rebelles et extrémistes de leur groupe.

Nadjim Fréchet

Nadjim Fréchet est étudiant au doctorat au département de science politique de l’Université de Montréal. Il a obtenu sa maîtrise en science politique à l’Université Laval. Il est également membre du Centre pour l’étude de la citoyenneté démocratique (CECD) et de la Chaire de recherche enseignement des sciences sociales numériques de l’Université Laval. Son mémoire de maîtrise cherchait à évaluer si les meilleurs résultats électoraux du Parti conservateur écossais seraient expliqués par son éloignement idéologique du Parti conservateur britannique. Ses intérêts de recherche portent sur l’opinion publique, l’idéologie, les partis politiques et les méthodes quantitatives.

Émilie Dionne 

Émilie Dionne est chercheure régulière à VITAM — Centre de recherche en santé durable et professeure associée au Département de sociologie de l’Université Laval. Ses recherches, à l’interface de la théorie et de la recherche appliquée en santé, portent sur la relation de soins et la communication, l’approche des soins axés sur la personne, la vulnérabilité et l’accès aux soins, l’éthique du Care et les approches féministes de la science et de la technologie en santé. Politologue et penseure politique de formation, depuis 2016, elle mène des recherches action et collaboratives au sein du Réseau des soins et services de santé du Québec, notamment pour améliorer l’accès aux soins et services pour les personnes vivant des enjeux de vulnérabilité sociale. Préconisant les méthodes qualitatives, Dre Dionne conçoit et innove en méthodologie de recherche et s’intéresse également à l’impact de la science en société et sur la santé.